🎎 L Homme Peut Il Se Passer De Religion

Etdonc, au minimum, on peut dire que le vaccin anti-Covid ne nuit pas Ă  la fertilitĂ© chez les hommes, et mĂȘme qu'en rĂ©alitĂ©, il donne un tout petit coup de fouet au nombre de spermatozoĂŻdes Elleest dit Marx, « la conscience de soi « de l'homme. Non pas d 'abord une institution (avec son clergĂ© et ses rites) mais quelque chose de l'ordre du penser (et non du faire). L'homme qui se 1L'homme peut il se passer de la religion 2-La philosophie peut elle s'accorder avec la religion j'ai le choix entre ces deux disserte, la premiĂ©re me parait plus interessente, or la deuxiĂ©me plus accĂ©sible vue que j'ai un cours sur la philosophie, mais la religion, ca me parait difficile. J'aimerai bien avoir qq aide pour cette disserte, car je n'ai aucun cours la dessu et en Excellentpoint de dĂ©part pour philosopher Si l'homme est un animal religieux, il ne peut se dĂ©tacher de la religion car son essence (ou sa nature) l'y reconduit sans cesse. L'athĂ©isme CorrigĂ©du sujet L'homme peut-il se passer de religion? Accepter les conditions - Refuser Vous devez avoir lu, compris et acceptĂ© toutes les conditions de notre service avant de l'utiliser. Obligations de s'engage Ă  fournir un service de qualitĂ© et Ă  assurer dans la mesure du possible et de ses compĂ©tences l'accĂšs au site et aux corrections fournies. Le Ilest possible de ne pas se passer de religion, en effet chaque homme est libre de croire Ă  ce qu’il veut et puisqu’il existe des religions, chaque homme peut croire en une religion. Cependant Le dĂ©sir Citations sur l'homme peut il se passer de religion? : Si je devais dĂ©finir la religion, je dirais que c'est un bandage que l'homme a inventĂ© pour protĂ©ger l'Ăąme blessĂ©e par les Onpeut dĂ©jĂ  Ă©tablir que la notion de nature humaine possĂ©de une forme de lĂ©gitimitĂ© au regard de son apport dans l'Ă©tude de l'ĂȘtre humain Ă  travers les Ă©poques permettant Ă  l'homme de se connaĂźtre Ă©xterieurement et intĂ©rieurement. Or, connaĂźtre une chose, c'est dĂ©terminer ce qu'elle est , Ă©noncer son ĂȘtre , ou son essence, les dĂ©terminants qu'elle reçoit Ă  la naissance et Commele monsieur Ă©tait soufrant il pris le drap et se coucha sur le canapĂ© au salon. le livreur de pain sorti de la chambre les vĂȘtements a la main comme le monsieur souffrant Ă©tait coucher, le livreur le regarda et sortit la tĂȘte baisser. Le lendemain comme si rien ne s’était passer il donna l'argent de ration a sa femme. x0w6. Le corrigĂ© sujet 1 ProblĂ©matique Le que » invite Ă  un plan catalogue, piĂšge Ă  Ă©viter ! Il s'agit d'interroger ce que peut apporter le travail , qui est spontanĂ©ment associĂ© Ă  un gagne-pain et en mĂȘme temps Ă  une idĂ©e de contrainte soumission au processus vital, nĂ©cessitĂ© de produire en transformant la nature nos moyens de subsistance, de pĂ©nibilitĂ© et de dĂ©pense d'Ă©nergie physique et psychique. C'est l'aspect labeur du travail, que vient compenser la production ou le salaire seulement en partie selon Marx qui ne sont pas en eux-mĂȘmes des gains, dans le sens oĂč cela vient juste compenser ce qui a Ă©tĂ© perdu au travail temps, force, parfois mĂȘme son humanitĂ© et son Ăąme. Mais peut-on rĂ©duire le travail Ă  cela, le travailleur Ă  l' animal laborans » comme le dit Hannah Arendt. Ne peut-il pas y avoir dans le travail une dimension d’Ɠuvre par laquelle l'homme s'affirme comme homme et individu, et par lĂ  un vĂ©ritable gain, par delĂ  ces compensations ? Mais la trouve-t-on dans tout travail ? Quel travailleur est gagnant ? Et qu'est-ce qu'on entend par gain ? On dit que travailler c'est gagner sa vie », mais qu'est-ce qu'une vie gagnĂ©e ? Plan possible I. On dit que travailler , c'est gagner sa vie »... A - on doit en effet produire de quoi survivre donc on gagne cela B - en tant qu'activitĂ© Ă©conomique, le travail permet d'avoir sa place dans la sociĂ©tĂ© C - devenu une des valeurs centrales de nos sociĂ©tĂ©s Transition mais le salaire n'est que ce que l'on reçoit en Ă©change de l'effort fourni, c'est la contrepartie ; la transformation de la nature est un rĂ©sultat, non un gain. La satisfaction de nos besoins n'est que la condition de leur renaissance , soumission au processus vital. II. il n'y a rien Ă  gagner dans le travail, un simple moyen de survivre A - le travail est un effort douloureux imposĂ© par l'aiguillon de la nĂ©cessitĂ© historique trop nombreux pour se contenter de puiser dans la nature ou rupture de l'harmonie avec la nature chez Rousseau ou mĂȘme naturelle nature inachevĂ©e qui nous condamne Ă  devoir transformer la nature pour rĂ©pondre Ă  nos besoins. Il est labeur, punition dans la GĂ©nĂšse, contrainte B - le travail est une contrainte, la marque de notre asservissement au processus vital, d'oĂč sa condamnation dans la GrĂšce antique ; c'est une activitĂ© indigne d'un homme libre, c'est pourquoi elle est rĂ©servĂ©e aux esclaves. C - le travail comme labeur du soir au matin » est la meilleure des polices » pour Nietzsche dans Aurore il Ă©puise force nerveuse, tue l'initiative individuelle et rĂ©duit les vues de l'homme Ă  un but mesquin » Transition ce que condamne Nietzsche, c'est une certaine forme de travail, celle de la rĂ©volution industrielle, oĂč les machines, la logique quantitative de la production et la consommation triomphent. C'est que Marx dĂ©nonçait comme aliĂ©nation du travail, dĂ©possession. Mais s'il y a dĂ©possession dans le labeur, c'est que le travail ne se rĂ©duit pas Ă  cela ? III. il peut y avoir quelque chose Ă  gagner par delĂ  le salaire qui n'est pas en soi un gain! dans le travail A - le travail permet de façonner la nature pour en faire un monde humain. Le travail est un Ă©lĂ©ment fondamental de la culture. Selon Marx, c'est par lĂ  que l'homme se distingue de l'animal. B - lorsqu'il y a technique, production d'une Ɠuvre, le travail permet de s'affirmer comme homme et individu dialectique du maĂźtre et de l'esclave de Hegel, cogito pratique ». En travaillant, l'homme se fait homme et s'affirme pour lui et pour les autres reconnaissance sociale. C - le travail permet aussi de conquĂ©rir la libertĂ© en formant la volontĂ© et la mystique exige la mĂ©canique » selon Bergson. Conclusion si le travail ne se rĂ©duit pas Ă  un gagne-pain, s'il y a en lui technique et Ɠuvre, il peut ĂȘtre un gain pour l'homme. Mais il faut que le travail reste un travail, un moyen de gagner sa vie et non une fin en soi et un moyen de pouvoir s'affirmer pour ensuite pouvoir se rĂ©aliser en tant qu'homme et individu. Gagner sa vie, ce n'est pas encore la rĂ©ussir. Sujet 2 ProblĂ©matique si la croyance est spontanĂ©ment associĂ©e Ă  ce qui n'est pas fondĂ© en raison, Ă  l'irrationnel, ⁃ la raison ne se rĂ©duit pas au rationnel, l'excĂšs de raison peut ĂȘtre dĂ©raisonnable il convenait de distinguer les 2 sens de raison rationnel/raisonnable ⁃ l'irrationnel ne se rĂ©duit pas Ă  ce qui est contraire Ă  la raison, il peut aussi ĂȘtre ce qui est au-delĂ  de la raison, Ă©tranger Ă  la raison le cƓur a ses raisons que la raison ne connaĂźt point » selon Pascal. ⁃ ⁃ Le sujet invitait donc Ă  s'interroger sur les fondements de la croyance le toute » invitait Ă  se demander si justement on ne peut pas distinguer des croyances rationnelles et des croyances irrationnelles et sur ce qui est contraire ou non Ă  la raison, sur la distinction entre raisonnable et rationnel Plan Possible I. Si l’usage de la raison exige un rejet de la croyance, c'est que toute croyance semble contraire Ă  la raison A - toute dĂ©marche qui se veut objective et rigoureuse exige que l’on fasse une critique des opinions reçues, des prĂ©jugĂ©s, des croyances ordinaires qui constituent les premiers obstacles Ă©pistĂ©mologiques » Bachelard et qui ne sont fondĂ©s que sur le ouĂŻ-dire, les dĂ©sirs, l'expĂ©rience premiĂšre, la force de l'adhĂ©sion commune, donc non fondĂ©s en raison. On pouvait ici faire rĂ©fĂ©rence Ă  l'allĂ©gorie de la caverne et aux analyse freudiennes et marxistes de l'illusion religieuse. C - c’est en rompant avec les explications religieuses ou les mythes, bref les approches de la foi, de la croyance religieuse que la pensĂ©e scientifique ou philosophique est nĂ©e la loi des 3 Ă©tats de A. Comte C - le souci de la vĂ©ritĂ©, exigence de la raison, s'oppose Ă  l'adhĂ©sion de la croyance Penser n’est pas croire » Alain ; la raison invite Ă  la distance critique, au doute.. Transition la croyance semble donc contraire Ă  la raison aussi bien dans ses fondements que dans l'adhĂ©sion qu'elle implique, mais toute croyance est-elle pour autant irrationnelle ? II. Certaines croyances ne sont pas contraires Ă  la raison A - distinction platonicienne entre la doxa et l’opinion droite. B - la croyance religieuse peut s'appuyer sur une thĂ©ologie rationnelle les preuves de l’existence de Dieu C - la pensĂ©e rationnelle semble s’appuyer elle aussi sur certaines croyances, postulats admis sans ĂȘtre dĂ©montrĂ©s ou prouvĂ©s rationnellement. il n'est pas de sciences sans prĂ©suppositions » Nietzsche. La science , malgrĂ© sa rationalitĂ©, ne dĂ©bouche pas sur des vĂ©ritĂ©s absolues mais seulement des vĂ©ritĂ©s provisoires, des croyances rationnelles. D - la croyance n'est pas contraire Ă  la raison, elle est au-delĂ  de la raison Pascal. Elle souligne les limites de la puissance de la raison aussi bien d'un point de vue thĂ©orique que pratique Kant et le postulat de l'existence de Dieu, comme un des 3 postulats de la morale aux cĂŽtĂ©s de la libertĂ© et de l'immortalitĂ© de l'Ăąme. Transition donc la croyance n'est pas nĂ©cessairement contraire Ă  la raison ; si toute croyance ne s'oppose pas Ă  la raison, Ă  quelles conditions croyance et raison peuvent-elles coexister ? III. Une coexistence possible A - ce que l’usage de la raison rejette absolument , ce n’est pas la croyance en elle-mĂȘme, ce sont ses dĂ©rives que sont le Fanatisme idĂ©ologique, religieux, sectaire aveugle et misologue et la superstition qui nourrit la peur et qui empĂȘche Ă  la fois le progrĂšs de la connaissance la superstition ne vivant que de l’ignorance et la vie raisonnable , c’est-Ă -dire sage par ex. la philosophie Ă©picurienne qui pose les principes de la vie sage et heureuse commence par une physique, qui a pour objectif de dĂ©mystifier », de dĂ©mythifier » le monde, de sĂ©parer soit-disant divin et purement physique, car c’est la peur des Dieux qui trouble l’ñme et empĂȘche de parvenir au Bonheur , l’ataraxie . Autrement dit ce que rejette l’usage de la raison , c’est la croyance qui nie la science ou qui se prend pour de la science, qui ignore qu’elle n’est qu’une croyance. B - l’opinion est parfois le seul point d’appui que l’on a pour diriger sa vie , faute de rĂšgles objectives du bonheur , par exemple. Et si on s’y tient, elle permet d’avoir une conduite, alors que le doute permanent empĂȘche de vivre et d’agir la morale provisoire de Descartes C - on peut penser qu'on a besoin de croyances pour vivre et que c'est en quelque sorte une rĂ©action dĂ©fensive de la nature contre la raison Bergson. C'est la rançon de l'intelligence ». On a besoin d'illusion. Sujet 3 ThĂšse dans cet extrait Spinoza s'oppose Ă  l'idĂ©e selon laquelle l’État rĂ©duirait les hommes Ă  une obĂ©issance mĂ©canique en en faisant des bĂȘtes », des automates ». Il soutient donc que l’État a pour but la libertĂ©, dont il rend possible l'exercice en sĂ©curisant et pacifiant les rapports humains lignes 1 Ă  6, qu'il prĂ©suppose dans l'acte de soumission volontaire au souverain lignes 6 Ă  12 et qu'il laisse intacte en ne portant pas atteinte Ă  la libertĂ© de juger et d'opiner lignes 12 Ă  la fin. Ce texte invite donc Ă  s'interroger sur les rapports entre État et libertĂ© et Ă  repenser la notion de libertĂ© Ă  travers les distinctions entre indĂ©pendance et autonomie et droit d'agir et droit de raisonner et juger. On pourra aussi s'interroger sur la valeur de cette libertĂ© de penser et de juger, qui, si la dĂ©sobĂ©issance est interdite, pourrait sembler se rĂ©duire Ă  parler Ă  son bonnet », Ă  une libertĂ© bien vaine. Explication ⁃ lignes 1 Ă  6 Spinoza expose l'idĂ©e de ceux qui voit dans l’État une institution liberticide et dĂ©naturante, puisqu'on y passerait d'un Ă©tat d'ĂȘtre raisonnable Ă  un celui d'une bĂȘte, dĂ©nuĂ©e de raison, incapable de se conduire et soumise aux ordres d'un tiers comme Ă  ses impulsions naturelles. Spinoza renverse cette idĂ©e, en montrant qu'au contraire, l'Etat permet Ă  chacun de rĂ©aliser sa nature d'agir conformĂ©ment Ă  la nĂ©cessitĂ© de sa prore natureet au lieu de tenir par la crainte, le jeu des passions en libĂšre dans le rapport avec les autres et en soi-mĂȘme. Il permet au corps et Ă  l'Ăąme d'assurer leur fonctions, en assurant ordre et sĂ©curitĂ©. Il dĂ©passionne les rapports humains permettant ainsi de ne plus ĂȘtre esclaves des passions. D'une vie dominĂ©e par la haine, la colĂšre, la ruse, on peut sous la protection de l'Etat passer Ă  une vie placĂ©e sous la conduite de la raison. on retrouvera la mĂȘme idĂ©e dans le passage de l’état de nature Ă  l'Ă©tat civil chez Rousseau Donc bien loin de tenir par la crainte idĂ©e de Hobbes , l’État en libĂšre pour Spinoza et c'est la raison pour laquelle les hommes acceptent de se soumettre Ă  son autoritĂ©, qui n'est que le fruit de ce consentement. C'est pourquoi Spinoza prĂ©cise que la fin de l’État est en rĂ©alitĂ© » la libertĂ© et non la soumission et l'obĂ©issance. La sĂ©curitĂ© n'exige pas le renoncement Ă  la libertĂ©. ⁃ Lignes 6 Ă  13 c'est ce qu'il va prĂ©ciser en explicitant les conditions de l’institution de l’État et ses raisons d'ĂȘtre. C'est parce que les hommes ont des jugements divers consĂ©quences des complexions diffĂ©rentes, des limites des connaissances, que si chacun agissait en consĂ©quence, il pourrait y avoir conflits et insĂ©curitĂ©. C'est pourquoi chacun renonce Ă  agir selon son dĂ©cret et accepte de renoncer donc volontairement et librement Ă  ce droit et de le confier, transfĂ©rer au souverain quelque soit le rĂ©gime dĂ©mocratique, aristocratique ou monarchique. On pourrait ici voir un renoncement semblable Ă  celui exigĂ© par Hobbes dans son pacte, mais ce n'est pas le cas. ⁃ Lignes 13 Ă  la fin c'est ce sur quoi va conclure Spinoza en distinguant droit d'agir et de raisonner et penser » et d'expression, de diffusion, de publication des idĂ©es = enseignement. En se soumettant aux dĂ©crets du souverain dans ces actes, l'homme ne renonce pas pour autant Ă  sa libertĂ© de pensĂ©e. Il obĂ©it aux lois, parce qu'il y a consenti pour la paix et sa sĂ©curitĂ©, donc pour jouir de ses droits naturels, mais il n'y soumet pas son Ăąme. Il reste entiĂšrement libre de penser ce qui lui semble bon et a le droit de l’exprimer par en usant de moyens raisonnables et en en restant Ă  des paroles. Du rapport de force, de la persuasion,on passe Ă  des rapports de raison, Ă  la volontĂ© de convaincre. Donc pour Spinoza, l’État ne porte pas atteinte Ă  la libertĂ© au contraire il la rend possible, effective et l'exige pour ne pas outrepasser ses pouvoirs. Renoncer Ă  agir conformĂ©ment Ă  ses dĂ©crets, n'empĂȘche pas l'individu de penser par lui-mĂȘme, et c'est lĂ  la vĂ©ritable libertĂ©, qu'on ne saurait cĂ©der Ă  l’État. La libertĂ© n'est pas dans la dĂ©sobĂ©issance, mais dans la rĂ©sistance et la vigilance citoyenne, mais encore faut-il que l’État la laisse ĂȘtre. C'est quand il l'entrave en bridant la libertĂ© de la presse, d'expression, en voulant formater les esprits, qu'il devient liberticide ou quand le peuple se soumet corps et Ăąme. Épreuve tant redoutĂ©e, qui lance les Ă©preuves du Bac. Voici les corrigĂ©s de philosophie, premiĂšre Ă©preuve passĂ©e ce jeudi par les candidats des sĂ©ries gĂ©nĂ©rales et technologiques au Bac ici les sujets du Bac Philo 2017 en intĂ©gralitĂ©Examen du jeudi 15 juin 2017 de 8h Ă  12hDurĂ©e de l'Ă©preuve de philosophie 4hVIDEO. Notre Facebook Live des corrigĂ©s de PhiloPosez vos questions en direct sur notre page FacebookIl est toujours bon de rappeler que le corrigĂ© qui suit n’est pas un corrigĂ© type les dĂ©lais sont trop courts pour y prĂ©tendre mais constitue des pistes permettant Ă  l’élĂšve de se situer par rapport Ă  la copie du Bac Philo SĂ©rie L LittĂ©raire Coef. 7CorrigĂ© Sujet 1 - Suffit-il d’observer pour connaĂźtre ?Le premier sujet Suffit-il d’observer pour connaĂźtre ? » est un sujet de philosophie des sciences ou Ă©pistĂ©mologie. Il est devenu classique de proposer ce type de sujet Ă  la sĂ©rie littĂ©raire pour que les Ă©lĂšves puissent avancer une rĂ©flexion dans un domaine qui n’est pas le leur a priori. Cependant, ce type de sujet est souvent jugĂ© comme complexe par les Ă©lĂšves et rares sont ceux qui osent si sujet met clairement en place le rapport qui se joue entre l’observation et la connaissance. Il faut donc rapidement dĂ©finir ces deux notions. L’observation peut ĂȘtre dĂ©finie comme une perception attentive et minutieuse, ce qui la distingue de notre perception quotidienne. La connaissance ici concerne la connaissance scientifique c’est-Ă -dire un ensemble de propositions qui obĂ©issent Ă  des lois rationnelles question que pose le sujet est donc de savoir si l’observation est suffisante pour accĂ©der Ă  des connaissances scientifiques ou si, au contraire, il est besoin de plus pour parvenir Ă  ce type prĂ©cis de est possible d’envisager dans un premier temps que l’observation constitue une Ă©tape importante voire nĂ©cessaire dans l’élaboration des connaissances scientifiques. En effet, le scientifique observe d’abord les phĂ©nomĂšnes qui nourrissent son Ă©tonnement et il peut ensuite s’interroger sur la cause des phĂ©nomĂšnes en question, ce qui lui permet de formuler diffĂ©rentes l’observation ne peut tout Ă  fait prĂ©tendre au statut de connaissance car elle n’est pas vĂ©rifiĂ©e. En science, les faits ne sont jamais donnĂ©s mais construits par tout un protocole expĂ©rimental qui seul peut prĂ©tendre au statut de connaissance. La perception peut ĂȘtre trompeuse et elle a besoin de la raison pour ĂȘtre donc par l’élaboration de thĂ©ories souvent inobservables que la connaissance est acquise. Il faut mĂȘme parfois que la science s’écarte radicalement de l’observation pour pouvoir prĂ©tendre Ă  l’élaboration de nouvelles tel sujet pouvait mobiliser un certain nombre de rĂ©fĂ©rences classiques. Pour la premiĂšre partie, il Ă©tait possible de solliciter La MĂ©taphysique d’Aristote oĂč il distingue les Ă©tapes progressives de la connaissance, qui vont de la sensation et l’observation Ă  la constitue une rĂ©fĂ©rence efficace pour la deuxiĂšme partie. Dans La Formation de l’esprit scientifique, l’auteur montre que la connaissance scientifique doit se construire contre l’illusion d’un savoir immĂ©diat par l’ il Ă©tait possible de faire rĂ©fĂ©rence Ă  Kant et sa Critique de la raison pure pour la derniĂšre partie. Dans la prĂ©face de son Ɠuvre, Kant souligne le progrĂšs rĂ©alisĂ© par la science lorsqu’elle a cessĂ© de se contenter des faits pour les interroger Ă  partir d’une d’autres rĂ©fĂ©rences pouvaient ĂȘtre utilisĂ©es par les Sujet 2 Tout ce que j’ai le droit de faire est-il juste ?Le deuxiĂšme sujet est sans doute un peu plus simple, ce qui ne doit pas empĂȘcher l’élaboration d’une vĂ©ritable ce que j’ai le droit de faire est-il juste ?La rĂ©ponse au sujet semble Ă©vidente. En effet, si j’ai le droit de rĂ©aliser telle ou telle action c’est-Ă -dire si le corpus des lois d’une sociĂ©tĂ© donnĂ©e m’autorise Ă  agir, alors je suis nĂ©cessairement juste. La justice peut dans un premier temps ĂȘtre dĂ©finie comme l’institution chargĂ©e de faire respecter les lois lorsque ces derniĂšres ne sont pas respectĂ©es et, si j’ai le droit de mon cĂŽtĂ©, j’ai Ă©galement la justice avec il n’est pas impossible que des lois soient injustes. En effet, certains systĂšmes lĂ©gislatifs mettent en place des lois que l’on peut juger comme Ă©tant injustes. Il faut alors remarquer que le sens de la notion de justice Ă©volue et il faut l’entendre, non plus comme l’institution chargĂ©e de faire respecter les lois, mais comme une valeur morale. C’est au nom de la justice que nous pouvons juger que certaines lois sont injustes et qu’il ne faut pas leur obĂ©ir mĂȘme si nous en avons le nous sommes confrontĂ©s Ă  des lois injustes, il est du devoir des citoyens de les combattre et de tenter de les renverser afin d’obtenir une correspondance entre la justice lĂ©gale et la justice morale. C’est Ă  ce prix que ce que nous avons le droit de faire devient vĂ©ritablement rĂ©fĂ©rences possibles pour un tel sujet sont les suivantes. Pour la premiĂšre partie le candidat pouvait utiliser un texte de Mill dans L’Utilitarisme oĂč l’auteur dĂ©finit la justice comme conformitĂ© Ă  la un deuxiĂšme temps, le candidat pouvait reprendre un texte d’Aristote tirĂ© de son Ethique Ă  Nicomaque. Aristote concĂšde d’abord que ce qui est lĂ©gal est juste avant de montrer que la justice est une vertu Thoreau et le concept de dĂ©sobĂ©issance civile pouvait constituer une bonne rĂ©fĂ©rence pour la derniĂšre Sujet 3 explication de texteLe sujet d’explication de texte prĂ©sente un extrait du Discours sur l’origine et les fondements de l’inĂ©galitĂ© parmi les hommes de Rousseau. Si l’Ɠuvre et l’auteur sont cĂ©lĂšbres, le texte n’en est pas moins Rousseau s’oppose Ă  Maupertuis quant au problĂšme de la bontĂ© ou non de l’homme. L’objet du texte est donc l’opposition entre l’homme naturel et l’homme civilisĂ© et le problĂšme que pose l’auteur est de savoir si l’homme est mauvais naturellement ou s’il l’est Ă  la suite d’une perversion de la culture. Rousseau tranche clairement ce problĂšme en montrant que c’est la civilisation qui a perverti l’homme et non la nature. Contre cette dĂ©gradation, il eut Ă©tĂ© prĂ©fĂ©rable pour l’homme de rester Ă  l’état de nature, c’es-Ă -dire une situation dans laquelle l’homme n’est soumis Ă  aucune commence par reprendre la thĂšse de Maupertuis qui s’est proposĂ© de peser le pour et le contre de l’existence et en a conclu que l’existence humaine tend vers le malheur plutĂŽt que vers le bonheur. Le reproche que Rousseau fait Ă  cette interprĂ©tation est qu’elle s’intĂ©resse Ă  l’homme issu de la culture, c’est-Ă -dire des lois de la civilisation, et non Ă  l’homme naturel. Rousseau insiste alors sur le fait que l’ensemble des entreprises humaines, Ă  savoir les sciences, le dĂ©veloppement technique
 n’ont pas permis Ă  l’homme de parvenir au bonheur, bien au contraire. Contre cette entreprise de civilisation, Rousseau propose plutĂŽt de revenir, autant que faire se peut, Ă  l’état de nature qui lui apparaĂźt comme la condition du bonheur de l’homme. Reste Ă  savoir si cela est notions sur lesquelles il fallait s’arrĂȘter fortement sont celle d’existence humaine, d’état de nature, de culture et civilisation science et technique, de du Bac Philo SĂ©rie ES Economique et sociale Coef. 4ElĂ©ments de corrigĂ© par Francis MĂ©tivier, professeur de philosophie, docteur en philosophie Paris IV Sorbonne, auteur de Rock’n philo et Rock’n philo vol. 2 J’ai Lu, 2015, 2016, LibertĂ© inconditionnelle Pygmalion-Flammarion, 2016 et Mythologie des prĂ©sidentiables Pygmalion-Flammarion, 2017.CorrigĂ© Sujet 1La raison peut-elle rendre raison de tout ?Le sujet est assez difficile dans son approche, plutĂŽt sans risque dans son traitement. Il est classique dans son contenu mais inĂ©dit sous sa forme et sa formulation qui contient deux fois le mot raison »Sa difficultĂ© rĂ©side dans la formule rendre raison » qui signifie, dans le langage courant, expliquer, la question donne La raison peut-elle tout expliquer ? La raison peut-elle dĂ©velopper un savoir explicatif sur toute chose, dans tout domaine ? Peut-elle prĂ©tendre au savoir total ?Erreur et contresens Ă  Ă©viter la question n’est donc pas de savoir si la raison peut expliquer les choses, mais si elle peut expliquer toute chose, sans problĂšme pouvait ĂȘtre ainsi posĂ© La raison peut ĂȘtre dĂ©finie comme une aptitude Ă  dĂ©montrer les faits, les hypothĂšses ou les idĂ©es principalement par un rapport de causalitĂ©, de cause Ă  effet, du type si
 alors
 » ; en ce sens, tout, en thĂ©orie est dĂ©montrable et explicable rationnellement. Cependant, il existe des phĂ©nomĂšnes inexpliquĂ©s, des Ă©nigmes non rĂ©solues, des hypothĂšses non dĂ©montrĂ©es la raison n’a pas de prise sur sujet implique ici de se poser la question Ă  cĂŽtĂ© de la raison qui pourrait ne pas tout expliquer, avons-nous d’autres aptitudes pouvant compenser l’impuissance de la raison ? Lesquelles ?Les notions du programme en jeu dans le sujet sont La raison et le rĂ©el, la dĂ©monstration et l’interprĂ©tation, la auteurs possibles Pascal, PensĂ©es, Le cƓur a ses raison que la raison ignore » les sentiments et la foi Ă©chappent au savoir EncyclopĂ©die des sciences philosophiques, la raison est capable d’un savoir Ă©tait possible de raisonner selon le plan suivant I- En thĂ©orie, la raison peut rendre raison de tout, si scientifiquement tout est explicable par des raisonnements de type causal ou si tout peut ĂȘtre rĂ©duit en langage universel, mathĂ©matique par Dans la pratique et dans l’état actuel du savoir, la raison se heurte Ă  ses propres mĂ©thodes, inadaptĂ©es pour certains faits humains l’amour s’explique-t-il rationnellement ? ou certains faits physiques le problĂšme de l’anti-matiĂšre.III- La raison n’est pas que thĂ©orique liĂ©e au savoir, elle est aussi morale liĂ©e Ă  l’action mais lĂ  encore la raison pratique l’usage que nous faisons des connaissances n’est pas toujours capable de rendre raison de ce qu’elle fait de la science ou de la technique par exemple. L’usage de ce qui est construit rationnellement par exemple une arme n’est pas nĂ©cessairement on pouvait se demander si des savoirs et des pratiques qui ne sont pas toujours rationnels comme l’art ne sont pas malgrĂ© tout capables de rendre raison de tout ».CorrigĂ© Sujet 2Une Ɠuvre d’art est-elle nĂ©cessairement belle ?Le sujet est apparemment assez facile dans son approche et son traitement classique dans son fond et dans sa forme. Il pose la question de la beautĂ© nĂ©cessaire – et non accidentelle – de toute Ɠuvre Ă  partir du moment oĂč elle est dite artistique ».ReformulĂ©e, la question donne Ă  partir du moment oĂč une Ɠuvre qui peut ĂȘtre autre qu’artistique est reconnue comme artistique, cette caractĂ©ristique lui confĂšre-t-elle automatiquement une valeur de beautĂ© ? NĂ©cessairement » signifie ici que la beautĂ© serait consubstantielle Ă  l’Ɠuvre d’art, qu’elle serait son critĂšre contresens Ă©tait Ă  Ă©viter car le sujet demande si une Ɠuvre d’art est, de fait, belle, et non si une Ɠuvre d’art se doit, de droit, d’ĂȘtre belle. MĂȘme si l’artiste ne vise pas toujours le beau, de fait, produit-il forcĂ©ment et mĂȘme sans le vouloir le beau ?Le problĂšme pouvait ĂȘtre ainsi posĂ© D’un cĂŽtĂ©, nous avons tendance Ă  penser qu’une Ɠuvre d’art est forcĂ©ment belle puisque ce serait lĂ  le but de l’art le jugement c’est beau ! » est trĂšs courant dans un tableau ; mais d’un autre cĂŽtĂ©, nous reconnaissons pas comme beau ce qui est pourtant de l’ difficultĂ© du sujet rĂ©side notamment dans le besoin d’un travail de dĂ©finitions au pluriel des concept en jeu Qu’est-ce qu’une Ɠuvre d’art ? Qu’est-ce que le beau ?Les notions du programme en jeu dans le sujet sont l’art, la conscience la conscience de l’art et du beau, l’inconscient l’artiste peut-il produire inconsciemment du beau ?, la raison et la dĂ©monstration la raison esthĂ©tique qui jugerait du beau et du laid.Il Ă©tait possible de raisonner selon le plan suivant I- Le beau est une caractĂ©ristique nĂ©cessaire de l’Ɠuvre d’art puisque ce critĂšre est ce qui accompagne le projet de l’ Le beau est une valeur esthĂ©tique qui n’existe pas dans l’Ɠuvre d’art mĂȘme mais dans le jugement que l’on peut avoir sur elle. Les jugements Ă©tant relatifs au sujet, toute Ɠuvre d’art n’est pas nĂ©cessairement belle Des goĂ»ts et des couleurs ont ne discute pas »III- L’art ne vise ni le beau ni le laid, la considĂ©ration esthĂ©tique au sens des rĂšgles de l’art et du beau est trĂšs secondaire dans l’art. Son but premier est diffĂ©rent sentir un faire ressentir une Ă©motion, ou encore dĂ©livrer un principal possible Kant, Critique de la facultĂ© de juger, L’art est n’est pas la reprĂ©sentation d’un belle chose mais la belle reprĂ©sentation d’une chose ». L’Ɠuvre d’art, mĂȘme si elle reprĂ©sente un objet laid dans la vie, est une forme nĂ©cessairement belle, le beau Ă©tant par ailleurs dĂ©fini par Kant comme un jugement de goĂ»t on pouvait s’interroger sur la possibilitĂ© du beau en dehors de l’art, le corps humain ou la nature en soi sans leur reprĂ©sentation artistiqueCorrigĂ© Sujet 3Explication d’un texte de Hobbes extrait du sujet est assez difficile dans son approche et dans son question que pose le texte est la suivante La libertĂ© se dĂ©finit-elle dans les cadres de la loi ou hors des cadres de la loi ?Le problĂšme et la thĂšse Habituellement, nous disons que la libertĂ© humaine doit ĂȘtre encadrĂ©e par la loi. Hobbes prend le contre-pied de cette idĂ©e et dĂ©montre la thĂšse suivante la libertĂ© des hommes, dans une sociĂ©tĂ©, rĂ©side dans ce que le souverain qui fait les loi, ici a passĂ© sous silence », c’est-Ă -dire ce qu’il n’a pas jugĂ© bon de prĂ©ciser dans la loi et qui correspond Ă  des actions permises. La loi Ă©nonce ce qui est formellement interdit, non ce qu’il est possible de faire le droit de faire ceci ou cela.Le problĂšme que le texte pose est dont le rĂŽle de la loi ce qu’elle doit Ă©noncer au regard de notre libertĂ©. Cette libertĂ© se dĂ©finit par tout ce que la loi ne prĂ©cise du programme en jeu la libertĂ©, le droit comme systĂšme de lois, l’État qui Ă©tablit la loi.Plan du texte l. 1 Ă  5 – Nous avons la libertĂ© la possibilitĂ© de faire ce que la loi ne dit pas n’interdit pas.l. 5 Ă  8 – Exemple physiquement il serait absurde de revendiquer la libertĂ© de se dĂ©battre alors que nous ne serions pas 8 Ă  11 – Il serait Ă©galement absurde de revendiquer de se soustraire aux lois parce qu’elle serait contraignante alors que celle-ci nous protĂšge en matiĂšre de sĂ©curitĂ©.l. 11 Ă  14 – La loi nous protĂšge par les sanctions prĂ©vues en cas d’acte illĂ©gal la loi n’est connue et efficace que dans cette mesure. Pourtant les hommes voudraient s’en libĂ©rer, ce qui est 14 Ă  19 – ThĂšse de l’auteur ce que la loi ne dit pas est autorisĂ© et non sanctionnĂ© et du Bac Philo SĂ©rie S Scientifique Coef. 3ElĂ©ments de corrigĂ© par Francis MĂ©tivier, professeur de philosophie, docteur en philosophie Paris IV Sorbonne, auteur de Rock’n philo et Rock’n philo vol. 2 J’ai Lu, 2015, 2016, LibertĂ© inconditionnelle Pygmalion-Flammarion, 2016 et Mythologie des prĂ©sidentiables Pygmalion-Flammarion, 2017.CorrigĂ© Sujet 1DĂ©fendre ses droits, est-ce dĂ©fendre ses intĂ©rĂȘts ?Le sujet est assez facile dans son approche, assez difficile dans son traitement. Il est classique dans son contenu et dans sa forme, Ă  la fois en philosophie politique et sociale, et dans la vie la question donne La dĂ©fense de ses droits se rĂ©duit-elle Ă  revendiquer ses intĂ©rĂȘts ou, Ă  l’inverse, dĂ©fendre ses droits vise-t-il un dĂ©passement de ses » intĂ©rĂȘts ?Sa difficultĂ© du sujet rĂ©side dans l’analyse du concept d’intĂ©rĂȘt qu’est-ce qu’un intĂ©rĂȘt ? qu’est-ce qui s’oppose Ă  l’intĂ©rĂȘt ?, et dans la formule ses intĂ©rĂȘts » est-ce que l’expression dĂ©signe mes intĂ©rĂȘts personnels, ou les intĂ©rĂȘts d’un groupe particulier une corporation, un syndicat ou une association par exemple ? Il Ă©tait donc bon de se poser cette question Mes intĂ©rĂȘts personnels sont-ils aussi ceux de tout citoyen, ou est-ce que ce sont des intĂ©rĂȘts strictement individuels ?En fait, l’ensemble de ses possibilitĂ©s pouvait ĂȘtre vu et mĂȘme donner des Ă©lĂ©ments d’articulation pour le convenait aussi de s’interroger sur le verbe dĂ©fendre » et ce qu’il implique problĂ©matiquement dĂ©fendre ses » intĂ©rĂȘts ne remet-il en cause d’autres intĂ©rĂȘts ? Par exemple dĂ©fendre aujourd’hui nos » intĂ©rĂȘts Ă©conomiques et industriels par exemple ne remet-il pas en cause les intĂ©rĂȘts des hommes de demain et leur possibilitĂ© de dĂ©fendre les leurs ?Les notions du programme en jeu dans le sujet sont Le droit, la justice, la politique, la auteurs possibles Marx la classe exploitĂ©e doit dĂ©fendre les intĂ©rĂȘts de la classe Contrat social, le droit du plus fort dans une tyrannie VS l’intĂ©rĂȘt de la volontĂ© gĂ©nĂ©rale dans une Jonas, Le principe responsabilitĂ©, la dĂ©fense de ses droits doit tenir compte des droits universels et intemporels de l’homme, en particulier de celle des gĂ©nĂ©rations Ă©tait possible de raisonner selon le plan suivant I- DĂ©fendre ses droits revient d’abord Ă  dĂ©fendre ses intĂ©rĂȘts personnels, individuels ou DĂ©fendre ses droits consiste Ă  dĂ©fendre en fait les droits de tous, l’intĂ©rĂȘt dont il s’agit alors est l’intĂ©rĂȘt DĂ©fendre ses droits va bien au-delĂ  de la dĂ©fense de ses intĂ©rĂȘts et mĂȘme d’intĂ©rĂȘts tout court. DĂ©fendre ses droits est dĂ©fendre des libertĂ©s universelles et non limitĂ©es dans le on pouvait poser la question de l’action des personnes qui, en apparence, dĂ©fendent les intĂ©rĂȘts d’autrui avant tout, au dĂ©triment des leurs, ou encore la question du don de Sujet 2Peut-on se libĂ©rer de sa culture ?Le sujet est assez difficile dans son approche et dans son traitement. Il est assez inĂ©dit en philosophie, bien qu’assez classique dans l’opinion premiĂšre chose Ă  faire ici est de s’étonner d’une telle question Pourquoi se libĂšrerait-on de sa culture ? En effet, nous pouvons penser que la culture nous arrache Ă  une nature sauvage, animale, ou encore qu’elle est source de savoir, de savoir-faire, de savoir-ĂȘtre et qu’elle contribue au progrĂšs de l’ question Peut-on se libĂ©rer de sa culture ? » implique donc l’idĂ©e prĂ©alable qu’on l’on voudrait se soustraire Ă©chapper Ă  de sa culture pourquoi ? Qu’est-ce qui est pesant, contraignant, voire destructeur, humiliant, dans une culture ?Le mot culture pouvait ĂȘtre donc pris dans les deux sens 1 la civilisation comme ensemble de pratiques, de coutumes, 2 la culture comme ensemble de connaissance la culture gĂ©nĂ©rale.ReformulĂ©e, la question donne Notre culture nous dĂ©finit-elle Ă  ce point si essentiel que nous pourrions, mĂȘme si nous le voulions, rompre avec elle nous colle-t-elle Ă  la peau », pour le dire ainsi. Le problĂšme porte sur la possibilitĂ© et le pouvoir de se dĂ©barrasser d’une culture notions du programme en jeu dans le sujet sont la culture, l’histoire pouvons-nous rompre avec notre histoire ?, le droit avons-nous le droit de rompre avec notre culture ?, la justice n’est-il pas vital de changer de culture ?, la libertĂ©, le Ă©tait possible de raisonner selon le plan suivant I- Nous ne pouvons nous libĂ©rer de notre culture propre car nous sommes le fruit d’une civilisation et de son Nous ne pouvons nous libĂ©rer de notre culture, de toute culture, quelle qu’elle soit, qu’au risque de perdre notre Nous pouvons nous libĂ©rer de notre culture et vivre dans une autre culture une autre civilisation, une autre Ă©poque de l’histoire.Auteurs possibles Kant, IdĂ©e d’une histoire universelle d’un point de vue et de la rĂ©volution devant permettre pour la classe dominĂ©e de change de Tristes on pouvait s’interroger sur le lien entre libĂ©ration et bonheur se libĂ©rer de notre culture peut-il nous rendre heureux ?CorrigĂ© Sujet 3Explication d’un texte de Foucault extrait de Dits et sujet est difficile dans son approche et son texte porte sur la notion d’erreur. La thĂšse du texte de Foucault consiste Ă  dire que l’erreur est Ă  la fois constitutive du vivant et de la connaissance que l’ĂȘtre Ă  la fois vivant et pensant problĂšme peut ĂȘtre posĂ© ainsi habituellement, le vivant se dĂ©finit comme reproduction de l’identique et de lĂ , la normalitĂ© du vivant se dĂ©finit comme absence de dĂ©viance, de diffĂ©rences entre les ĂȘtres de la mĂȘme prend le contre-pied de cette idĂ©e l’erreur et l’anormal sont la norme du vivant ; il est donc logique que la connaissance soit Ă  l’image de l’ĂȘtre vivant qui pense, qu’il en ait les mĂȘmes caractĂ©ristiques l’erreur, la est originale et rend l’explication du texte assez compliquĂ©e la pensĂ©e et la connaissance n’existent pas sans un ĂȘtre vivant qui pense. Or le vivant est fait de mutations, d’évolutions. Le vivant est alĂ©atoire. Donc, en toute logique, la pensĂ©e et la connaissance qui en dĂ©coulent prĂ©sentent les mĂȘmes du programme en jeu la vĂ©ritĂ©, la raison et le rĂ©el, le vivant, la du Bac Philo SĂ©ries Technologique Coef. 2Il est toujours bon de rappeler que le corrigĂ© qui suit n’est pas un corrigĂ© type les dĂ©lais sont trop courts pour y prĂ©tendre mais constitue des pistes permettant Ă  l’élĂšve de se situer par rapport Ă  la copie 1Le premier sujet Y a-t-il un mauvais usage de la raison ? » apparaĂźt comme particuliĂšrement difficile et il est probable que peu de candidats dĂ©cident de s’aventurer dans son traitement. 01/06/2016 3 01 /06 /juin /2016 2342 Pourquoi un homme Musulman peut Ă©pouser une chrĂ©tienne ou une juive selon les lois islamiques. Cet article fait suite Ă  l’article ci-dessous que j’ai Ă©crit prĂ©cĂ©demment sur comment se convertir Ă  l’islam. CONVERSION A L'ISLAM Ci dessous, vous trouverez aussi pourquoi une femme chrĂ©tienne peut Ă©pouser un Musulman. Un homme musulman peut se marier Ă  une chretienne Le Coran permet-il Ă  un musulman dĂ©pouser une non-musulmane? Ce que dit le Coran quant au mariage des hommes. Vous pouvez lire dans le coran sourate 5 verset 5 qu'il permet Ă  un homme musulman d'epouser une non musulmane. ​ Un homme Musulman ne peut pas se marier avec une non croyante, il faut qu'elle soit au minimum issue des gens du livre chrĂ©tienne ou juive la sourate Al Maidah el medea ou Al Ma’idah connu aussi en français sous le nom de "sourate de la table" faisant rĂ©fĂ©rence au cĂ©lĂšbre repas de jĂ©sus avec ses apĂŽtres expose les raisons pour lesquels un homme musulman pourra faire un mariage avec une non musulmane du moment qu'elle soit chretienne ou juive. Coran Extrait de la sourate de la table concernant les mariages mixtes. CE QUE DIT LA SOURATE DE LA TABLE AL MAIDAH "Vous sont permises, aujourd'hui, les bonnes nourritures. Vous est permise la nourriture des gens du Livre, et votre propre nourriture leur est permise. Vous sont permises les femmes vertueuses d'entre les croyantes, et les femmes vertueuses d'entre les gens qui ont reçu le Livre avant vous, si vous leur donnez leur Mahr, dot avec contrat de mariage, non en dĂ©bauchĂ©s ni en preneurs d'amantes. Et quiconque abjure la foi, alors vaine devient son action, et il sera dans l'au-delĂ , du nombre des perdants." Version en arabe de la sourate de Al Ma'ida Ű§Ù„Ù’ÙŠÙŽÙˆÙ’Ù…ÙŽ ŰŁÙŰ­ÙÙ„Ù‘ÙŽ لَكُمُ Ű§Ù„Ű·Ù‘ÙŽÙŠÙ‘ÙŰšÙŽŰ§ŰȘُ ÙˆÙŽŰ·ÙŽŰčÙŽŰ§Ù…Ù Ű§Ù„Ù‘ÙŽŰ°ÙÙŠÙ†ÙŽ ŰŁÙÙˆŰȘÙÙˆŰ§Ù’ Ű§Ù„Ù’ÙƒÙŰȘÙŽŰ§ŰšÙŽ Ű­ÙÙ„Ù‘ÙŒ لَّكُمْ ÙˆÙŽŰ·ÙŽŰčÙŽŰ§Ù…ÙÙƒÙÙ…Ù’ Ű­ÙÙ„Ù‘Ù لَّهُمْ ÙˆÙŽŰ§Ù„Ù’Ù…ÙŰ­Ù’Ű”ÙŽÙ†ÙŽŰ§ŰȘُ مِنَ Ű§Ù„Ù’Ù…ÙŰ€Ù’Ù…ÙÙ†ÙŽŰ§ŰȘِ ÙˆÙŽŰ§Ù„Ù’Ù…ÙŰ­Ù’Ű”ÙŽÙ†ÙŽŰ§ŰȘُ مِنَ Ű§Ù„Ù‘ÙŽŰ°ÙÙŠÙ†ÙŽ ŰŁÙÙˆŰȘÙÙˆŰ§Ù’ Ű§Ù„Ù’ÙƒÙŰȘÙŽŰ§ŰšÙŽ مِن Ù‚ÙŽŰšÙ’Ù„ÙÙƒÙÙ…Ù’ Ű„ÙŰ°ÙŽŰ§ ŰąŰȘَيْŰȘُمُوهُنَّ ŰŁÙŰŹÙÙˆŰ±ÙŽÙ‡ÙÙ†Ù‘ÙŽ Ù…ÙŰ­Ù’Ű”ÙÙ†ÙÙŠÙ†ÙŽ ŰșÙŽÙŠÙ’Ű±ÙŽ Ù…ÙŰłÙŽŰ§ÙÙŰ­ÙÙŠÙ†ÙŽ ÙˆÙŽÙ„Ű§ÙŽ مُŰȘÙ‘ÙŽŰźÙŰ°ÙÙŠ ŰŁÙŽŰźÙ’ŰŻÙŽŰ§Ù†Ù وَمَن ÙŠÙŽÙƒÙ’ÙÙŰ±Ù’ ŰšÙŰ§Ù„Ű„ÙÙŠÙ…ÙŽŰ§Ù†Ù ÙÙŽÙ‚ÙŽŰŻÙ’ Ű­ÙŽŰšÙŰ·ÙŽ Űčَمَلُهُ وَهُوَ فِي Ű§Ù„ŰąŰźÙŰ±ÙŽŰ©Ù مِنَ Ű§Ù„Ù’ŰźÙŽŰ§ŰłÙŰ±ÙÙŠÙ†ÙŽ La sourate Al maidah sourate de la table autorise ainsi clairement le mariage d’un homme musulman avec une chrĂ©tienne ou une juive. Certaines conditions sont cependant requises notamment de vĂ©rifier la rĂ©alitĂ© que cette femme soit vraiment chrĂ©tienne ou juive, qu’elle soit chaste et que le paiement de la dot Mahr soit effectif au moment du mariage. Le coran reconnaissant les femmes chrĂ©tiennes et juives comme Ă©tant des femmes dont la religion fait partie des religions "du livre" le saint coran, il autorise donc une femme non musulmane de se marier Ă  un musulman sans passer par une conversion Ă  l'islam. Par cette sourate, vous voici ainsi expliquĂ© les raisons qui font qu’un homme musulman peut Ă©pouser une femme de religion chrĂ©tienne ou juive sans que cela ne soit haram c'est-Ă -dire contraire au principes fondamentaux de l’islam. Cette libertĂ© n’est par contre pas accordĂ©e Ă  une femme musulmane qui elle, doit absolument Ă©pouser un homme musulman. J’aborderai l’explication de cette obligation faites au femmes musulmanes dans un prochain article qui se rĂ©fĂšre lui aussi Ă  un verset du coran trĂšs prĂ©cis. J’espĂšre avoir Ă©tĂ© clair dans mes explications car il m’a semblĂ© utile de publier un article traitant du sujet car beaucoup de personnes savent qu’un homme musulman peut Ă©pouser une femme juive ou chrĂ©tienne mais ne savent pas forçément les raisons religieuses le permettant. De mĂȘme, beaucoup de musulmans pensent que ce n’est pas possible d'Ă©pouser une femme chrĂ©tienne ou juive pour un homme musulman. J’espĂšre que cet article faisant rĂ©fĂ©rence Ă  un verset du coran leur permettra de trouver, lire et comprendre les raisons de cette permission coranique. A lire aussi MODÈLE DE DÉCLARATION DE RELIGION POUR MARIAGE AU MAROC. ECOUTER ET LIRE LE CORAN. LES 99 NOMS D'ALLAH. Voir MĂ©dine en direct 24h/24 Explication des raisons pour lesquelles un homme musulman peut Ă©pouser une femme de religion juive ou chrĂ©tienne. Sourate du coran autorisant un homme Musulman Ă  Ă©pouser une chrĂ©tienne ou une juive. Le Coran permet-il Ă  un musulman dĂ©pouser une non-musulmane. Dans le cadre d'un mariage mixte Franco Marocain par exemple, une femme chrĂ©tienne pourra se marier Ă  un homme musulman sans aucun problĂšme, une simple dĂ©lclaration de religion suffira.

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