♠️ Pas De Bébés À La Consigne
Lecollectif « Pas de bébés à la consigne » Les personnels de la petite enfance se sont mobilisés, ce jeudi, pour dénoncer la loi Asap qui révise les modes d’accueil et doit entrer en
Lecollectif « Pas de bébés à la consigne », fort de 50 organismes représentatifs, syndicats, associations professionnelles, représentants des familles et des parents, organisations de défense des droits des femmes, demande l’ouverture immédiate de négociations auxquelles le gouvernement se refuse depuis des mois, pour le retrait du
Pas de bébé à la consigne ! " c'est le slogan qui a été scandé pendant la manifestation des deux cents professionnels de la petite enfance à Montpellier. Un mouvement de grève national
Carpentras: "Pas de bébés à la consigne !", le personnel des crèches manifeste contre la réforme Taquet Abonnez-vous à partir de 1 € Découvrez nos offres
Bonjour Les crêches et les maternelles sont en danger à cause d'un projet de décret proposé par Nadine
Auxéditions , à Toulouse, vous le savez peut-être, on ne plaisante pas avec les bébés. Ils ont même le droit à une collection. Son nom ? . Elle contient pas moins de six rubriques et plus
ALERTE! En France, la qualité d'accueil de la petite enfance est en danger. Demain, 11 mars, il y
Lecollectif Pas de bébé à la consigne 35 appelle une nouvelle fois à mobilisation après la dernière mobilisation du 30 mars 2021 : Veuillez trouver ci dessous le tract ainsi que le préavis de grève au format PDF : tract_pas_bb_consigne_3_juin_2021 Télécharger. Preavis-de-greve-national-le-3-juin-2021 Télécharger.
Les bébés ne sont pas des sardines, pas de bébé à la consigne » : plusieurs rassemblements des personnels de crèches avaient lieu en France ce mardi 30 mars pour dénoncer la réforme des modes de garde, ont constaté des journalistes de l’AFP. Lille, Rennes, Le Mans, Toulouse, Pau, Perpignan, Marseille, Ajaccio, Lyon, Paris
uq6th. Ce mardi 30 mars, un mouvement de grève national peut perturber l'accueil des tout-petits dans les crèches. Ce mardi 30 mars, un mouvement de grève national peut perturber l'accueil des tout-petits dans les crèches. PHOTO ARCHIVES PIERRE ROUANET LA VOIX DU NORD - VDNPQR Publié 30 Mars 2021 à 11h43 Temps de lecture 1 min Pas de bébé à la consigne ! ». C’est le mot d’ordre de ce mouvement de grève initié ce mardi en France dans les crèches, à l’appel de plusieurs syndicats CGT, CFDT, FSU, FO, Sud, et le Syndicat national des professionnels de la petite enfance, SNPPE. Les syndicats montent au créneau contre la réforme des modes d'accueil, initiée par le secrétaire d'État chargé de l'Enfance et des Familles, Adrien Taquet, et lancée depuis janvier. Cette réforme prévoit notamment de réduire le taux d'encadrement des professionnels, en passant d’un professionnel pour six enfants au lieu de cinq enfants qui ne marchent pas, ou huit enfants qui marchent, précise Le Figaro. Le texte doit entrer en vigueur à la rentrée de septembre. Augmenter le nombre de places Cette réforme doit permettre d’augmenter le nombre de place en crèches. Mais toutes les recherches montrent qu’il faudrait une adulte pour cinq bébés, voire une pour quatre », s’était déjà indignée Birgit Hilpert, porte-parole du collectif Pas de bébé à la consigne » auprès de 20 Minutes. Le gouvernement va à l’encontre des recommandations des spécialistes de la petite enfance », ajoute-t-elle. Lire aussi Climat Élisabeth Borne débloque 1,5 milliard d’euros pour aider les collectivités Inflation la hausse des tarifs de l’électricité en 2023 sera contenue», promet Bruno Le Maire Harcèlement victime, témoin, prévention, témoignage... ce qu’il faut savoir avant la rentrée Poursuivez votre lecture sur ces sujets Grève Syndicats Enfants France Confédération générale du travail A lire aussi Climat Élisabeth Borne débloque 1,5 milliard d’euros pour aider les collectivités Inflation la hausse des tarifs de l’électricité en 2023 sera contenue», promet Bruno Le Maire Harcèlement victime, témoin, prévention, témoignage... ce qu’il faut savoir avant la rentrée Je suis fiancée à mon prince charmant marocain» la Nordiste Iris Mittenaere va se marier Tuerie de Chevaline dix ans après, le quadruple meurtre toujours aussi mystérieux Incendies en Gironde voici pourquoi le vin risque d’avoir un goût désagréable» Voir plus d'articles
Petite enfance - "Pas de bébés à la consigne" toujours mobilisé Publié le 14 mars 2011 Social, Jeunesse, éducation et formation Quelques centaines de professionnels de la petite enfance ont fait grève et ont manifesté vendredi 11 mars en France, pour réclamer un "accueil de qualité" pour les tout-petits, une mobilisation qui a conduit à de nombreuses fermetures de crèches, notamment à Paris. A Paris, une délégation du collectif "Pas de bébés à la consigne" a été reçue au ministère. "Nous avons exposé notre plan d'urgence pour la petite enfance", qui porte des revendications comme le retrait du décret assouplissant les règles d'accueil, a indiqué à l'AFP Pierre Suesser au nom du collectif. "Nous avons convenu de nous revoir en avril", a-t-il ajouté. A Paris, sur 421 établissements, la mairie a recensé 136 fermetures et 75 ouvertures partielles avec un total de 417 grévistes sur personnels. Selon le collectif, 67 crèches sur 76 étaient fermées totalement dans le Val-de-Marne. Trente et une étaient totalement fermées, et 24 partiellement, sur 59 en Seine-Saint-Denis. A Bordeaux, environ 150 des quelque 500 salariés soit 34,30% de grévistes des 30 crèches étaient en grève, selon la mairie. Huit structures étaient totalement fermées et sept partiellement. A Nancy, 8 crèches sur 12 étaient fermées. A Strasbourg, 65 agents ont été recensés par la mairie comme grévistes, soit environ 45% des effectifs. A Lyon, d'après la mairie, 18 crèches étaient fermées vendredi, 10 étaient perturbées et 20 étaient ouvertes. La grève semblait moins suivie à Grenoble, avec, sur 33 crèches, trois fermées toute la journée, selon le Centre communal d'action sociale. Des rassemblements modestes ont rassemblé quelques dizaines de personnes à Annecy, Nancy ou encore Besançon. Depuis déjà plus d'un an, certains professionnels protestent contre le décret du 7 juin 2010 portant sur les établissements et services d'accueil des enfants de moins de 6 ans qui assouplit les règles d'accueil en crèche, en augmentant le taux maximal de personnels non qualifiés en remplaçant par exemple des auxiliaires de puériculture ou éducateurs par des CAP "Petite enfance" et en permettant aux crèches d'accueillir plus d'enfants. A l'issue de la rencontre de vendredi, le ministère a fait valoir dans un communiqué que l'une des priorités est bien "d'offrir une solution de garde de qualité aux parents en améliorant la capacité d'accueil des jeunes enfants", avec un objectif de 200 000 places d'accueil supplémentaires d'ici 2012, sachant que "par ailleurs, une réflexion est menée pour un bilan d'étape du plan Métier Petite Enfance de décembre 2008". Le ministère assure également qu'"à l'exception de la garde au domicile des parents, tous les modes d'accueil continueront de faire l'objet d'un contrôle et de normes de fonctionnement qui visent à en garantir la sécurité et la qualité"… et prend soin de relever que "ce sont les départements - conseils généraux et leurs services de protection maternelle et infantile - qui sont chargés d'agréer et de contrôler les crèches et les assistantes maternelles". Tout juste deux jours plus tôt, Roselyne Bachelot avait présenté en Conseil des ministres une communication relative à "la mise en œuvre à mi-parcours du plan de développement de la garde des jeunes enfants 2009-2012", qui rappelait là encore l'objectif de " solutions de garde individuelles et collectives supplémentaires en quatre ans" et indiquant que "concernant l'accueil collectif, environ places nouvelles ont été créées en deux ans", lesquelles "ont bénéficié à environ 46 000 enfants en 2009 et en 2010". En préambule de son "plan d'urgence", le collectif Pas de bébés à la consigne estime quant à lui qu'il manque "au moins 300 000 à 400 000 places pour l'accueil des tout petits". Et met l'accent sur le glissement sémantique souvent opéré entre "places" et "solutions d'accueil" et sur ce qu'implique la notion d' "amélioration du taux d'occupation". Dans ses propositions ou revendications, il insiste notamment sur la question de la formation et de la promotion professionnelle, sur "la création de nouvelles structures collectives publiques ou à but non lucratif" abondées par l'Etat, la Cnaf et les collectivités, ou encore sur le caractère préjudiciable du système de la prestation de service unique PSU de la Cnaf pour le financement de l'accueil collectif financement à "l'heure de présence".
Ah qu’est-ce qu’on est serrés, au fond de cette crèche ! Chantent les bébés, chantent les bébés… »De la Caisse des écoles à la préfecture de Limoges, le cortège du collectif Pas de bébés à la consigne » a fait savoir, ce mardi, son désaccord avec les projets du gouvernement. Assouplir les conditions d’accueil pour proposer plus de places dans les crèches sans augmenter le nombre d’encadrants qualifiés ? C’est une idée intenable ! Nos conditions d’accueil sont déjà limites. On doit trouver sans cesse des solutions pour que le quota actuel n’impacte pas les enfants », répond Evelyne Krawczyk, adjointe technique dans une crèche de Limoges. Il faut arrêter, au nom du financier, de sacrifier la petite enfance en accueillant toujours plus d’enfants dans les structures existantes au lieu d’en ouvrir dautres ! On est en train de mettre en difficulté affective la jeunesse de demain. Si l’on est bienveillant dès la crèche, on fait des adultes équilibrés. » Ce qui demande des moyens. Avec leur projet, on passe d’un professionnel pour cinq enfants à un pour six ! » dénonce à son tour Karine Mercier, secrétaire de la section FSU Ville de Limoges. Et ce n’est pas tout ! Pour les petites structures, ils veulent mettre des personnes non qualifiées en petite enfance à la direction ! » Au sein de la profession, le sentiment rageant que travail et efforts quotidiens sont sapés par des gens qui ne connaissent rien au métier » est grandissant. C’est un métier difficile, qui n’est pas reconnu. Les professionnelles sont de plus en plus fatiguées ». D’ailleurs, les visages ont de moins en moins envie de rire lors des cortèges. Après la manif de ce mardi, une délégation a été reçue à la préfecture. On pense avoir été entendues » indique Evelyne Krawczyk, qui était présente. Marion Buzy
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